En septembre, malgré l’absence préoccupante de pluie, nous
sommes éblouis par les floraisons sur les murs en acier.
Le même lieu sous deux angles.
En premier, on
reconnaît : l’épilobe, le gaura, le romarin, les asters indigènes, au
second plan derrière le mandarinier satsuma iwasaki et sous le mandarinier une
crucifère non identifiée.
En second, une centaurée, la crucifère, une sauge cero
potosi rouge carmin, le romarin, le gaura et l’épilobe. Entre les deux lobes en
acier, le myrte montre aussi ses fleurs blanches. Entre les deux agrumes,
derrière la sauge, le beau feuillage du pacanier. Dans le fond on distingue les
deux grandes sculptures polychromes de Séverin Millet appelées les témoins.
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