Il
s’agissait en réalité de cocons.
Une
recherche bibliographique fait penser que cette chenille a été infectée par un
petit Hyménoptère dont les larves se sont développées dans le corps y puisant
leurs ressources énergétiques sans nuire aux organes vitaux.
Les
larves en fin de cycle ont des dents qui leur permettent de sortir, elles
tissent alors un cocon. La chenille influencée par une injection adéquate de la
petite guêpe (chimique ou virale) se met en symbiose avec l’espèce dont elle
est devenue l’hôte contre son gré et tisse elle-même une couche supplémentaire
autour des cocons.
On
peut supposer que ce mécanisme donne sens à l’existence des guêpe parasitoïdes
en contribuant à réguler la population de lépidoptères lesquelles les remercie
de ce malthusianisme délégué en apportant sa contribution.
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sur Youtube :